Dans la - désormais fameuse - rubrique "Total, toujours dans les bons coups", le titre de "Champion du Monde de la Démagogie" peut aujourd'hui leur être largement attribué.
Quelques extraits d'une déclaration de Christophe de Margerie, reprise dans le Bulletin de l'Industrie Pétrolière : c'est à mourir de rire. Alors, rions, ironisons, du 3ème au 15ème degré, tant qu'il en est temps...
Quelques extraits d'une déclaration de Christophe de Margerie, reprise dans le Bulletin de l'Industrie Pétrolière : c'est à mourir de rire. Alors, rions, ironisons, du 3ème au 15ème degré, tant qu'il en est temps...
"Total ne se mettra plus en avant sur le dossier gaz de schiste"
=> Lu sur EnerPresse le 12 octobre 2012 <=
=> Lu sur EnerPresse le 12 octobre 2012 <=
"Notre industrie est la première concernée par la transition énergétique et elle est plus que désireuse de participer à la réflexion : il s’agira donc, a déclaré hier jeudi Christophe de Margerie à la clôture des Journées annuelles des hydrocarbures organisées par le GEP-AFTP, de faire passer des messages précis et d’être audibles sans être hérétiques, cela ne sert à rien. Les quatre messages identifiés par le patron de Total devront servir trois objectifs : la sécurité d’approvisionnement, la compétitivité et le respect de l’environnement [...].
Il n’est plus aujourd’hui question de «peak oil» mais d’accès à de nouvelles ressources et donc de capacités, un des meilleurs messages que l’on puisse envoyer aux jeunes. C’est un secteur qui a un avenir absolument extraordinaire [...]. L’industrie doit être capable de montrer qu’elle est nécessaire et complémentaire, un mot dont Christophe de Margerie souligne l’importance, refusant de se battre pour savoir quelle est la meilleure des énergies. Sachons accepter de développer des technologies dans d’autres domaines, dit-il, ce n’est pas une bataille.
Le débat doit aussi permettre de faire savoir que la filière pétrolière et parapétrolière est remarquable et reconnue à l’étranger, dit le patron de Total [...].
Reste qu’au-delà de ces considérations, c’est un autre message qu’est venu livrer Christophe de Margerie à ses pairs : il faut que nous changions. Nous pouvons encore nous améliorer. C’est de communication qu’il s’agit là. Nous avons le devoir de nous exprimer, de rechercher le dialogue [...]. Nous ne demandons plus rien, c’est aux responsables politiques et gouvernementaux de savoir quoi faire sur le sujet [...]".
Il n’est plus aujourd’hui question de «peak oil» mais d’accès à de nouvelles ressources et donc de capacités, un des meilleurs messages que l’on puisse envoyer aux jeunes. C’est un secteur qui a un avenir absolument extraordinaire [...]. L’industrie doit être capable de montrer qu’elle est nécessaire et complémentaire, un mot dont Christophe de Margerie souligne l’importance, refusant de se battre pour savoir quelle est la meilleure des énergies. Sachons accepter de développer des technologies dans d’autres domaines, dit-il, ce n’est pas une bataille.
Le débat doit aussi permettre de faire savoir que la filière pétrolière et parapétrolière est remarquable et reconnue à l’étranger, dit le patron de Total [...].
Reste qu’au-delà de ces considérations, c’est un autre message qu’est venu livrer Christophe de Margerie à ses pairs : il faut que nous changions. Nous pouvons encore nous améliorer. C’est de communication qu’il s’agit là. Nous avons le devoir de nous exprimer, de rechercher le dialogue [...]. Nous ne demandons plus rien, c’est aux responsables politiques et gouvernementaux de savoir quoi faire sur le sujet [...]".