L'analyse de "L'Usine Nouvelle" : "La parole est au Gouvernement"
-> Article du 13 septembre <-
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"Le ministère de l’Energie a un mois pour décider si les permis pour l’exploration des gaz de schistes en France resteront dans les mains de leur titulaire. Si la loi est respectée, le gouvernement a tout intérêt à laisser les industriels travailler.
A la suite de Total, tous les détenteurs de permis ont exprimé leur souhait de continuer à explorer le gaz et le pétrole de schiste dans le sous-sol français. Comme l’exige la loi du 13 juillet dernier, ils ont affirmé qu’ils ne recourraient pas à la technologie de la fracturation hydraulique.
Le gouvernement a maintenant jusqu’au 13 octobre pour étudier les dossiers des opérateurs et donner leur accord pour la poursuite des travaux exploratoires. À cette date, les rapports des industriels seront rendus publics. [...]"
"Mais, visiblement, les pétroliers ont considéré pouvoir se passer de la fracturation. Des données sur le potentiel français peuvent être obtenues grâce à des études géologiques, des relevés sismiques et la réalisation de quelques carottages. Total, en particulier, déploie tout son potentiel de recherche dans son Centre scientifique et technique de l’Exploration et production (CSTJF) à Pau (Pyrénées-Atlantiques). C’est là que sont conservés comme des reliques les quelques mètres de carottes extraites il y a plus de 40 ans près de Montélimar (Drôme), et qui laissent imaginer le gigantesque potentiel français. [...]"
A la suite de Total, tous les détenteurs de permis ont exprimé leur souhait de continuer à explorer le gaz et le pétrole de schiste dans le sous-sol français. Comme l’exige la loi du 13 juillet dernier, ils ont affirmé qu’ils ne recourraient pas à la technologie de la fracturation hydraulique.
Le gouvernement a maintenant jusqu’au 13 octobre pour étudier les dossiers des opérateurs et donner leur accord pour la poursuite des travaux exploratoires. À cette date, les rapports des industriels seront rendus publics. [...]"
"Mais, visiblement, les pétroliers ont considéré pouvoir se passer de la fracturation. Des données sur le potentiel français peuvent être obtenues grâce à des études géologiques, des relevés sismiques et la réalisation de quelques carottages. Total, en particulier, déploie tout son potentiel de recherche dans son Centre scientifique et technique de l’Exploration et production (CSTJF) à Pau (Pyrénées-Atlantiques). C’est là que sont conservés comme des reliques les quelques mètres de carottes extraites il y a plus de 40 ans près de Montélimar (Drôme), et qui laissent imaginer le gigantesque potentiel français. [...]"