"Manifestation sans précédent pour la Journée de la Terre"
=> Article Courrier International du 23 avril 2012 <=
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"'Un grand cri du peuple', titre le quotidien. Des dizaines de milliers de personnes - entre 250 000 et 300 000 selon les organisateurs - se sont rassemblées le 22 avril à Montréal, à l'occasion du 42e Jour de la Terre. "Gaz de schiste, sables bitumineux, Plan Nord, protection des écosystèmes, protocole de Kyoto et même l’éducation : toutes les raisons étaient bonnes pour participer au grand arbre humain formé au parc Jeanne-Mance", rapporte le journal. Ce rassemblement est le plus grand organisé pour la cause environnementale au Québec".
"Québec: Plus de 250.000 personnes manifestent pour la Journée de la Terre"
=> Article 20minutes du 23 avril 2012 <=
=> Article 20minutes du 23 avril 2012 <=
"L’événement est passé inaperçu en France, mais au Canada, la Journée de la Terre, célébrée tous les 22 avril, a drainé une immense foule dans les rues. A Montréal, entre 250.000 et 300.000 personnes ont convergé vers le parc Jeanne Mance, où ils se sont rassemblés pour former une main géante.
Venus de tout le Canada, les manifestants étaient aussi bien des militants pour l’environnement que des quidams, inquiets de l’avenir des ressources naturelles de leur pays, rapporte le Montreal Gazette. L’exploitation des sables bitumineux en Alberta, les projets d’extraction de gaz de schiste mais également l’ouverture d’une voie dans le Nord du pays qui pourrait permettre d’aller forer du pétrole dans l’Arctique: les Canadiens craignent que l’écologie ne passe après les enjeux financiers".
Venus de tout le Canada, les manifestants étaient aussi bien des militants pour l’environnement que des quidams, inquiets de l’avenir des ressources naturelles de leur pays, rapporte le Montreal Gazette. L’exploitation des sables bitumineux en Alberta, les projets d’extraction de gaz de schiste mais également l’ouverture d’une voie dans le Nord du pays qui pourrait permettre d’aller forer du pétrole dans l’Arctique: les Canadiens craignent que l’écologie ne passe après les enjeux financiers".