Extraits :
"Les opposants à l’exploration des gaz de schiste, tant au Québec, au Canada qu’aux États-Unis, en Australie et en Europe, unissent leurs forces pour créer une mobilisation internationale.
À l’invitation du groupe Attac-France, une poignée de groupes écologistes se sont rassemblés jeudi matin pour discuter de gaz de schiste dans le cadre du Sommet des Peuples à Rio.
Ils ont échangé sur leurs luttes respectives et tenté de trouver des stratégies collectives à appliquer. L’une d’elle consiste à créer une journée internationale de lutte contre les gaz de schiste. La date du 22 septembre a été avancée, mais reste à confirmer.
Une déclaration commune, qui compte pour l’instant une quinzaine de signatures, a été rédigée pour dénoncer la fracturation hydraulique et l’exploitation des gaz de schiste sous toutes ses formes [...].
Les signataires de la lettre rappellent que grâce à la mobilisation citoyenne, des victoires contre la fracturation hydraulique ont eu lieu un peu partout sur la planète. Ils souhaitent donc renforcer cette implication et l’amener sur la scène internationale en organisant une meilleure coordination des groupes à l’échelle locale, régionale et nationale [...].
[Selon Patrick Bonin, responsable de la campagne climat-énergie de l’AQLPA :] C’est important de renforcer les alliances, car on voit que c’est la même dynamique un peu partout à travers le monde. Ce sont les mêmes acteurs, les mêmes techniques qui sont utilisées. Et dans bien des cas, les gouvernements voient les gaz de schiste comme une solution qu’ils veulent donc mettre de l’avant, alors que les populations ne sont pas d’accord. Il faut donc unir nos forces et partager nos stratégies car nous sommes devant des lobbys extrêmement puissants [...]".
"Les opposants à l’exploration des gaz de schiste, tant au Québec, au Canada qu’aux États-Unis, en Australie et en Europe, unissent leurs forces pour créer une mobilisation internationale.
À l’invitation du groupe Attac-France, une poignée de groupes écologistes se sont rassemblés jeudi matin pour discuter de gaz de schiste dans le cadre du Sommet des Peuples à Rio.
Ils ont échangé sur leurs luttes respectives et tenté de trouver des stratégies collectives à appliquer. L’une d’elle consiste à créer une journée internationale de lutte contre les gaz de schiste. La date du 22 septembre a été avancée, mais reste à confirmer.
Une déclaration commune, qui compte pour l’instant une quinzaine de signatures, a été rédigée pour dénoncer la fracturation hydraulique et l’exploitation des gaz de schiste sous toutes ses formes [...].
Les signataires de la lettre rappellent que grâce à la mobilisation citoyenne, des victoires contre la fracturation hydraulique ont eu lieu un peu partout sur la planète. Ils souhaitent donc renforcer cette implication et l’amener sur la scène internationale en organisant une meilleure coordination des groupes à l’échelle locale, régionale et nationale [...].
[Selon Patrick Bonin, responsable de la campagne climat-énergie de l’AQLPA :] C’est important de renforcer les alliances, car on voit que c’est la même dynamique un peu partout à travers le monde. Ce sont les mêmes acteurs, les mêmes techniques qui sont utilisées. Et dans bien des cas, les gouvernements voient les gaz de schiste comme une solution qu’ils veulent donc mettre de l’avant, alors que les populations ne sont pas d’accord. Il faut donc unir nos forces et partager nos stratégies car nous sommes devant des lobbys extrêmement puissants [...]".
Dernière édition par Sophie le 15/8/2012, 09:07, édité 3 fois