A l'occasion de la conférence environnementale des 14 et 15 septembre, le Rassemblement pour la Planète présente des propositions fortes pour répondre aux enjeux environnementaux actuels.
Source => Réseau Environnement Santé <=
Extraits :
"L’aspect le plus visible et le plus immédiat de la crise actuelle est la crise financière exacerbée par le développement incontrôlé de la finance au niveau mondial, la captation des richesses par un petit nombre. Ce modèle néoconservateur a amplifié les prédations des ressources de la planète et aggravé la crise écologique sans même en redistribuer équitablement les bénéfices aux catégories sociales populaires.
Ce modèle qui a parallèlement aggravé la crise écologique ne peut trouver de solution dans une fuite en avant, en poursuivant les mêmes politiques d’appauvrissement des ressources, en niant l’évidence scientifique des périls qui menacent la planète, en s’appuyant sur l’affaiblissement de l’Etat et des systèmes de solidarité, en s’affranchissant si nécessaire des règles démocratiques et en n’hésitant pas à faire appel aux vieilles recettes du nationalisme, du repli sur soi et de la haine de l’autre.
La crise écologique se développe à travers trois composantes : dérèglement climatique, épuisement des ressources naturelles et chute de la biodiversité. Elle doit aujourd’hui être complétée par une 4ème : la crise sanitaire [...].
Il est pourtant possible d’inventer un modèle de sortie de crise par le haut, un nouveau paradigme écologique qui prend en compte la finitude de la planète et qui peut aider aujourd’hui à construire un modèle de réponse à la crise écologique, créateur d’emplois, de lien social, source d’innovation, de culture et in fine de bien-être et de paix".
Parmi les grands chapitres :
Parmi les chantiers prioritaires :
Parmi les mesures concrètes principales :
Extrait :
"Exploitations non conventionnelles : en particulier gaz et huiles de schiste, mais aussi forage offshore dans les eaux nationales et/ou européennes : application stricte et transparente des principes de précaution / prévention et pollueur-payeur lors de chaque nouveau dossier, analyse d’impact obligatoire (populations, foncier, eau et analyse bénéfices / risques sur l’ensemble des périmètres), publique et contradictoire.
Interdiction à titre conservatoire de la fracturation horizontale, des additifs dans l’eau, valorisation des consommations d’eau par application systématique d’une tarification progressive, provision obligatoire d’une garantie égale aux revenus d’une année d’exploitation pleine pour chaque explorateur [...]".
"L’aspect le plus visible et le plus immédiat de la crise actuelle est la crise financière exacerbée par le développement incontrôlé de la finance au niveau mondial, la captation des richesses par un petit nombre. Ce modèle néoconservateur a amplifié les prédations des ressources de la planète et aggravé la crise écologique sans même en redistribuer équitablement les bénéfices aux catégories sociales populaires.
Ce modèle qui a parallèlement aggravé la crise écologique ne peut trouver de solution dans une fuite en avant, en poursuivant les mêmes politiques d’appauvrissement des ressources, en niant l’évidence scientifique des périls qui menacent la planète, en s’appuyant sur l’affaiblissement de l’Etat et des systèmes de solidarité, en s’affranchissant si nécessaire des règles démocratiques et en n’hésitant pas à faire appel aux vieilles recettes du nationalisme, du repli sur soi et de la haine de l’autre.
La crise écologique se développe à travers trois composantes : dérèglement climatique, épuisement des ressources naturelles et chute de la biodiversité. Elle doit aujourd’hui être complétée par une 4ème : la crise sanitaire [...].
Il est pourtant possible d’inventer un modèle de sortie de crise par le haut, un nouveau paradigme écologique qui prend en compte la finitude de la planète et qui peut aider aujourd’hui à construire un modèle de réponse à la crise écologique, créateur d’emplois, de lien social, source d’innovation, de culture et in fine de bien-être et de paix".
Parmi les grands chapitres :
- Faire de la transition énergique un vivier pour l’emploi.
- Préserver la biodiversité : protéger les ressources.
- Gouvernance : Intégrer les acteurs et institutions garants de la qualité de vie et de santé des citoyens.
Parmi les chantiers prioritaires :
- Moderniser et redéfinir les normes (évaluation-homologation).
- Adopter une loi de l’alerte et de l’expertise.
- instituer le concept de Justice environnementale.
- Mettre fin aux énergies "sales".
- Promouvoir les énergies "propres".
- Mettre fin aux subventions sur les pollutions et les taxer plus.
Parmi les mesures concrètes principales :
- Effets cocktails : prendre en compte systématiquement les effets synergiques et cocktails
dans la mise en place des normes. - Eau : nouvelle définition de la potabilité.
- Interdire l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures de roches mères.
- Créer un consortium européen d'entreprises "ENERTRANS" pour accélérer la transition.
- Lancer un crash programme de changement de tous les moteurs dans l'industrie.
- Construire un Droit protecteur du citoyen basé sur le principe de précaution.
Extrait :
"Exploitations non conventionnelles : en particulier gaz et huiles de schiste, mais aussi forage offshore dans les eaux nationales et/ou européennes : application stricte et transparente des principes de précaution / prévention et pollueur-payeur lors de chaque nouveau dossier, analyse d’impact obligatoire (populations, foncier, eau et analyse bénéfices / risques sur l’ensemble des périmètres), publique et contradictoire.
Interdiction à titre conservatoire de la fracturation horizontale, des additifs dans l’eau, valorisation des consommations d’eau par application systématique d’une tarification progressive, provision obligatoire d’une garantie égale aux revenus d’une année d’exploitation pleine pour chaque explorateur [...]".